Amiral Nathaniel Nash

Officier de l’armée fédérale âgé d’une quarantaine d’années. Il a gravit les échelons un à un, commençant sa carrière en servant sur l’Héraclès comme technicien de maintenance pendant la guerre coloniale. Après la guerre coloniale, Il entra à l’école de guerre spatiale afin de devenir officier tactique sur un croiseur stellaire.

Il finira par commander  la septième d’exploration comprenant deux croiseurs, une frégate et un vaisseau de ravitaillement. Il est souvent affecté à des missions de protection et de surveillances de routes commerciales. Son pavillon amiral est le puissant croiseur Bellérophon.

Plus jeune, il était adepte du V-World underground où il comprit le sens de la liberté. C’est pourquoi, il refuse de se soumettre à des règles liberticides.

Il avait une fille, Loumène et une femme, Cassandra.

Il a conscience que son monde change et évolue, seulement, il n’aime pas vraiment la direction qu’il prend. Il se doute que d’autres forces inconnues sont à l’œuvre pour des desseins qui lui échappent. Ainsi, c’est sa nature curieuse, qui le pousse à la réflexion face à ses incohérences qui l’entourent.

Il fera preuve d’abnégation pendant son voyage et son combat qui dura presque deux années afin d’avoir la certitude de garantir un monde meilleur pour ceux qui y croient.   

Il veut surtout donner une chance aux hommes de mériter leur place dans l’univers.

Il a beaucoup de regrets sur l’héritage de ces ancêtres concernant les guerres passées et l’état de la Terre, mais il sait que c’est la nature propre à l’homme et que cela ne changera jamais.

Son but, serait que ses missions d’exploration portent leurs fruits. Ainsi, sa fille Loumène, drogué au V-World pourrait s’épanouir dans un monde nouveau à l’environnement riche et spacieux. Bien qu’il ne soit pas optimiste quant à sa surexploitation comme Terra Nova, menant à la guerre.

Pour lui, l’homme n’est jamais raisonnable.

Il finira par penser, à l’issue de son alliance avec des Sidoniens tels que Phénix, que ce type d’individu pourra peut-être freiner les pulsions humaines en y apportant leur sagesse.

A la fin de l’histoire, on peut penser que Nash avait vu juste.

Jamais, il ne cessera de penser à ses deux amours. Malgré leur pertes qu’il tient avec certitude, il mènera sa mission jusqu’au bout. Non plus par loyauté envers l’état fédérale reditionniste, mais par loyauté envers l’humanité qu’il jura de servir et protéger.

(KIA* Chap. 12):